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    musique

     

    musique

     

     

    Je passe vous voir ici car je n'aurai pas la possibilité de venir

    dans vos blogs .Je ne vais pas bien j'ai le contre coup des evenements familiaux bon allez en 2011 cela passera car la nouvelle ANNEE  sera mieux je vous aime et pense a vous bisous

    Marie-Christine


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    En te souhaitant,
    un nouvel an,
    plein d'élan,

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    que le ciel te sourie,
    tout le long de ta vie,
    que cette année soit belle,

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    et t'apporte tout tes rêves,
    que cette nouvelle année,

    PhotobucketPhotobucketPhotobucket
    t'apporte une bonne santé,
    je t'embrasse et bonne année.

     

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    Je viens par ce billet vous souhaiter
    un Joyeux Noel et surtout
     
    je pense à ceux qui n'ont
    rien et avec qui je suis en pensées avec eux
     Mais pas seulement  
    car chaque année
    dans le quartier
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    ou je réside chaque famille de
    mon entrée prepare des repas pour
     des personnes âgées et en difficulté .
     Car souvent les familles les délaissent.
      
      
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    Alors si je vous parle de cela
    c'est pour que vous y
    songiez car en ces jours de fêtes
    comment pouvons nous
    faire la fête alors qu'à nos portes
    il y a des gens en
    détresse pas
    seulement matérerielle
    non!! oh!! non !!!!
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       Mais aussi et surtout
    dans une solitude
    que l'on est loin
    de penser alors
     voila je vous dis
    MERCI pour eux

     

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    ;
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    Mes amies et amis

     

     
    très chers

     

    à mon cœur

    je vous aime

     
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     deux anges veillent

     sur vous

     

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  • etoile_

      noelimageperenoel-1.gif picture by marie-christine_2007

     

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    etoile_

    gif13.gif picture by marie-christine_2007 Petit bonhomme où t'en vas-tugif14.gif picture by marie-christine_2007
    Courant ainsi sur tes pieds nus
    Je cours après le Paradis
    Car c'est Noël à ce qu'on dit...

    barresnoel.gif picture by marie-christine_2007

    Le Noël de la rue
    C'est la neige et le vent
    Et le vent de la rue
    Fait pleurer les enfants

    barresnoel.gif picture by marie-christine_2007

    La lumière et la joie
    Sont derrière les vitrines
    Ni pour toi, ni pour moi
    C'est pour notre voisine

    barresnoel.gif picture by marie-christine_2007

    Mon petit, amuse-toi bien
    En regardant, en regardant
    Mais surtout, ne touche à rien
    En regardant de loin...

    barresnoel.gif picture by marie-christine_2007

    Le Noël de la rue
    C'est le froid de l'hiver
    Dans les yeux grands ouverts
    Des enfants de la rue

    barresnoel.gif picture by marie-christine_2007

    Collant aux vitres leurs museaux
    Tous les petits font le gros dos
    Ils sont blottis comme des Jésus
    Que Sainte Marie aurait perdus...

    barresnoel.gif picture by marie-christine_2007

    Le Noël de la rue
    C'est la neige et le vent
    Et le vent de la rue
    Fait pleurer les enfants

    barresnoel.gif picture by marie-christine_2007

    Ils s'en vont reniflant,
    Ils s'en vont les mains vides
    Nez en l'air et cherchant
    Une étoile splendide.

    barresnoel.gif picture by marie-christine_2007

    Mon petit, si tu la vois
    Tout en marchant bien droit
    Le Noël de la rue
    C'est au ciel de leur vie
    Une étoile endormie
    Qui n'est pas descendue...

     

    33384694.gif picture by marie-christine_2007

     

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  • st nicolas

    musique

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  •  cloche-noel-1.gif picture by marie-christine_2007 Photobucket cloche-noel-1.gif picture by marie-christine_2007

    boule3-1.gif picture by marie-christine_2007En hiver la terre pleure boule3-1.gif picture by marie-christine_2007

    En hiver la terre pleure ;
    Le soleil froid, pâle et doux,
    Vient tard, et part de bonne heure,
    Ennuyé du rendez-vous.

    y_ligne_noel_33.gif picture by marie-christine_2007

    Leurs idylles sont moroses.
    - Soleil ! aimons ! - Essayons.
    O terre, où donc sont tes roses ?
    - Astre, où donc sont tes rayons ?

    y_ligne_noel_33.gif picture by marie-christine_2007

    Il prend un prétexte, grêle,
    Vent, nuage noir ou blanc,
    Et dit : - C’est la nuit, ma belle !
    - Et la fait en s’en allant ;

    y_ligne_noel_33.gif picture by marie-christine_2007

    Comme un amant qui retire
    Chaque jour son coeur du noeud,
    Et, ne sachant plus que dire,
    S’en va le plus tôt qu’il peut.

    y_ligne_noel_33.gif picture by marie-christine_2007

    Victor Hugo 

    51-1.gif picture by marie-christine_2007 

    La neige

    Blanche neige
    Gros flocons
    Chauds manteaux
    ynoel57.gif picture by marie-christine_2007Et gros pompons !
    ynoel57.gif picture by marie-christine_2007

    y_ligne_noel_33.gif picture by marie-christine_2007

    Dans la neige
    Il fait bon
    Tout est beau
    Et tout est rond.

    y_ligne_noel_33.gif picture by marie-christine_2007

    cloche-noel-1.gif picture by marie-christine_2007Les clocherscloche-noel-1.gif picture by marie-christine_2007
    Les maisons
    Ont des glaçons
    Sur le front

    y_ligne_noel_33.gif picture by marie-christine_2007

    Les traîneaux
    Les chapeaux
    51-1.gif picture by marie-christine_2007Ont de la glacecloche-noel-1.gif picture by marie-christine_2007
    Au menton.

    y_ligne_noel_33.gif picture by marie-christine_2007

    Il fait froid,
    Gla, gla, gla,
    Couvertures et feu de bois.

    y_ligne_noel_33.gif picture by marie-christine_2007

    Il fait chaud
    Chocolat,
    La neige fond
    cloche-noel-1.gif picture by marie-christine_2007Et ça sent bon !
    51-1.gif picture by marie-christine_2007

    Sophie Arnoult

    n_boule6.gif picture by marie-christine_2007n_boule6.gif picture by marie-christine_2007n_boule6.gif picture by marie-christine_2007

     

     

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    globe1.gif picture by marie-christine_2007  globe1.gif picture by marie-christine_2007

     

     

     

     


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  • rilke par pasternakEt pour en revenir à la solitude, il sera de plus en plus évident qu’elle n’est au fond rien que l’on puisse prendre ou laisser. Nous “sommes” solitaires. On peut se laisser abuser et faire comme s’il n’en allait pas ainsi. C’est tout. Mais comme il serait préférable d’admettre que nous sommes solitaires et partir tout bonnement de cette donnée. Nous sommes pris de vertige, cela se produira sans doute ; car tous les points familiers à nos yeux nous seront retirés, il n’y aura rien de proche, et tout lointain sera infiniment loin. Quiconque, presque sans préparation ni transition, serait transporté de sa chambre au sommet d’une haute montagne éprouverait semblable sensation : une insécurité sans pareille à se sentir livré à l’inexprimé risquerait de l’anéantir. Il s’imaginerait tomber ou croirait être projeté dans l’espace ou éclater en mille morceaux : quel monstrueux mensonge son cerveau ne devrait-il pas imaginer pour récupérer ses sens et y remettre de l’ordre. Ainsi, pour qui devient solitaire, toutes les distances, toutes les mesures changent ; beaucoup de ces changements surviennent brusquement et, comme chez cet homme au sommet de la montagne, naissent alors des représentations extraordinaires et des sensations fantastiques qui semblent dépasser le seuil du supportable. Mais il est nécessaire que nous vivions aussi “cela”. Il nous faut accepter notre existence aussi “vastement” que possible ; tout, même l’inouï, doit y être possible.
    — Rainer Maria Rilke, Lettres à un jeune poète

     

    Je suis seul. Longtemps je n’ai pas voulu l’admettre, il m’a fallu le vivre pour m’accoutumer à le penser et le dire sans qu’un frisson de désespoir ne traverse. Je suis seul. Encore aujourd’hui, je ne peux le murmurer sans qu’une part de moi ne me renvoie au malheur et à la tristesse - aux châtiments de l’exil. L’autre part au contraire y cherche réconfort et salut - habiter dans l’exil. Mais il n’y a que moi, et je ne suis que dans les interstices ; je me déforme dans ces deux miroirs. Ceux qui professent que la solitude est nécessaire s’aveuglent de croire qu’elle est choisie ; ceux qui la combattent avec énergie font d’elle un adversaire ; plus ils la repoussent, plus son ombre leur parait menaçante.

    L’aveu vient souvent, terriblement silencieux, dans le catimini de la conscience - un soupir ; qu’il ne faut pas méprendre pour de la résignation ni du dégoût. Un soupir de fatigue ; il a fallu apprivoiser, ruser avec cette solitude - elle est longtemps devenue à l’intérieur de moi. Et quand elle advint, l’apaisement succéda à l’ébahissement. Je suis seul et je me souviens. Ce fut un moment froid et glacé, j’étais terrorisé - la lutte m’avait rendu habile à détourner mes yeux, mais dans cette pièce nue, l’éléphant avait tellement grossi qu’il obstruait jusqu’au futur. Il m’a bien fallu admettre, et pendant quelques instants cet aveu sonna comme une défaite. J’étais ébahi, les yeux écarquillés sous les paupières, le sol se dérobait, des cris stridents retentissaient - ma mâchoire s’est vivement contractée, ma gorge sèche a avalé brusquement le suc amer du désespoir. Mes bras ballants tombaient jusqu’à terre. J’ai souri et j’ai fait un pas de côté, quelques centimètres à peine, sans bruit ; pour ne pas signifier mon départ. Mais je n’ai pas pleuré, je n’étais arrivé nulle part : j’étais dans l’interstice; mais pour la première fois, je le voulais ainsi. Mon cerveau m’épargna un instant son monstrueux mensonge, le temps de prendre la mesure des choses, de mémoriser un nouvel usage du monde. Cette étincelle de poésie fut d’une totale brutalité. Projeté hors de soi, chacun attend le mur auquel il se frappera. Mais il n’y a de murs que dans notre esprit, que nous dressons temporairement afin de s’abriter de l’inexplicable.

    La solitude était sortie du négatif pour entrer dans le positif, elle s’était affranchie des petites morts qui la suivent pour devenir un processus. J’avais appris à désirer la solitude, à la vouloir. Celle-ci s’est depuis transformée, elle a mué au gré des évènements, elle colore de toute sa palette les expériences. La solitude n’est pas un absolu, elle est une croyance. Elle se vit moins qu’elle s’expérimente. Ainsi, elle ne peut être décrite hors de son contexte, elle est à chaque fois une immanence renouvelée. Et il nous faut tout sacrifier à cette croyance - nous “sommes” solitaires, et c’est cela même qui est inouï.

    Je suis seul. Dans les volutes de l’entremêlement des solitudes demeure la permanence précaire de nos exils. Rilke est le poète de cette solitude ; exilé et apatride, son oeuvre entière en tente une cartographie délicate.

    La solitude est comme une pluie
    Elle monte de la mer à la rencontre des soirs,
    Des plaines, qui sont lointaines et dispersées
    elle va jusqu’au ciel qui toujours la possède
    et là du ciel elle retombe sur la ville
    Elle se déverse sur les heures indifférenciées
    lorsque les rues se tournent vers le matin
    Et lorsque les corps qui ne se sont pas trouvés
    se détachent l’un de l’autre abusés et tristes
    Et lorsque les hommes qui se haïssent
    sont obligés de coucher ensemble dans un même et seul lit
    Alors la solitude s’en va dans les fleuves
    — Rainer Maria Rilke, le livre d’image


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    Bonne nuit à vous qui passez je vous écris ici

     car  je suis trop fatiguée et debordée par la vie

    je vous aime bisous

    merci pour vos passages chez moi

    mais ce soir pas le moral

    votre amie

    marie-christine


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  • noel

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    noel

     

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     « Les deux vaches »

    Une douce après-midi d’été
    Deux vaches amies paissent au pré,
    Une normande, l'autre montbéliarde.
    Elles broutent, par ci par là, regardent,
    La clôture, poussant grands soupirs.

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    La noire et blanche convoite ces fleurs
    Appétissantes, dans l'autre pâture
    La brune bave devant la verdeur
    De l'herbe derrière la clôture.
    A travers le barbelé,

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    la brune passe le cou
    Elle se blesse, n'obtient rien du tout.
    L'autre n'y parvient pas mieux
    Elles ne peuvent que
    « manger des yeux ».

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    Et ruminent des idées guerrières.
    Ces deux vaches auraient fini folles
    Pour goûter un peu d'herbe folle
    Si la fermière, un brin distraite
    Le matin, après la traite,

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    N’avait omis le fil de fer
    Tenant le pieu de la barrière
    Quelle chance !
    Elles s’avancent,
    Emoustillées, puis méfiantes

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    Elles goutent du bout des lèvres,
    Les belles fleurs sont pleines de fientes
    Cette herbe, juste bonne pour les chèvres !
    Il y a moins de pissenlits,
    Les mouches piquent plus ici.

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    Elles ont beau faire le tour,

     rien de bon n’y pousse.
    Déjà chemin elles rebroussent
    Mais le paysan les repousse

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    Il a mis un vieil âne dans « leur » pré
    Qui trottine joyeusement,

     s'ébroue, c'est le paradis
    Après ce qu’il vient d’endurer
    Et les deux autres regardent,

    pleines de nostalgie
    De leurs yeux bovins qu’elles n’ont

    plus que pour pleurer.

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    MORALITE :
    L’herbe semble toujours plus verte

    de l'autre côté Mesdames, Messieurs
    Méditez-le,
    La vie ou les conjoints des autres
    Paraissent toujours meilleurs que les vôtres…

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     en y allant voir de plus près,

    vous seriez peut-être déçus et sûrement

    qu’il y a quelqu’un quelque part

    qui vous envie les vôtres ! 

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    Et bien quel exemple lol

    elle a chaud aux fesses mdr

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    Encore quelques courts et les pas seront

    plus assurés lol  !!!!!!!

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    Voila messieurs ont vous a bien surpris lol

     PhotobucketPhotobucketPhotobucketPhotobucket

     

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    La Clouwnette

     

     


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    Sainte Catherine le 25 novembre

    Le 25 Novembre, jour de

    la Sainte Catherine, est le jour des

    Catherinettes. On y fête les

    jeunes filles de 25 ans qui ne sont pas

     encore mariées. La tradition veut qu'elles

     portent un chapeau extravagant

     aux tons jaunes et verts

    confectionné pour ou par elles,

    à leur image.

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    Origine de cette tradition
    Sainte Catherine d'Alexandrie

     a vécu au IIIe siècle.

    Sa légende rapportée

    en France par le croisés,

    raconte qu'elle est morte

     vierge et martyre.

     Elle fut d'abord attachée à

     une roue munie de pointes,

     qu'elle parvint à briser par ses prières.
    Elle fut ensuite décapitée et de

    son corps jaillit du lait.

    Puis elle fut portée part des anges

     sur le Mont Sinaï.
    Née à Alexandrie au sein d'une

    famille noble, Sainte Catherine

    se convertit au christianisme

     à la suite d' une vision. Très intelligente,

     elle suit les cours des plus

     grands maîtres chrétiens.

    Elle est la seule sainte du paradis

    à posséder trois auréoles :

     la blanche des vierges,

    la verte des docteurs et

    la rouge des martyrs.

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    Sainte Catherine est aujourd'hui la

     

     patronne des filles à marier,

     mais aussi des théologiens,

    philosophes, orateurs, notaires,

     étudiants, meuniers,

    plombiers, tailleurs ...

    La tradition de Sainte Catherine

    remonte au Moyen âge.

    A l'époque, les filles de 25 ans

     qui n'étaient pas encore mariées

     revêtaient des tenues et

    des chapeaux extravagants

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     et se rendaient en cortège

    devant une statue de Sainte Catherine

     pour la parer de fleurs, rubans,

     chapeaux ...

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    Elles coiffaient Sainte Catherine

    dans l'espoir de trouver un mari !
    Elles allaient au bal et celles

    qui voulaient trouver

     un mari se mettaient

     un chapeau complétement

    fou sur la tête.

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    Elles y accrochaient

    des objets jaunes et verts

     pour se faire remarquer.

    Elle fut vénérée dès le moyen âge

    dans de nombreuses églises,

     ou des jeunes filles non mariées

     venaient le jour de sa fête,

     honorer sa statue et

     renouveller sa coiffure.

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     C'est de là qu'est venue la tradition

    encore très répandue

    "de coiffer Sainte Catherine"

    pour les jeunes filles qui atteignent

     25 ans sans être mariées.

     Dans l'industrie textile,

     où Sainte Catherine a été

     adoptée comme patronne

    des fileuses, la Sainte Catherine

     est fêtée par un bal des catherinettes.

    Dans le nord de la France

    les jeunes filles s'envoient

     ce jour la des cartes

    de la Sainte Catherine pleines

     de souhaits et de doux espoirs.

     

     

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     La Sainte-CatherineIl y a très longtemps,

     il y aurait eu une femme

     du nom de Catherine qui aurait été

    exécutée vers l'an 307 pour avoir

    refusé de se marier à un empereur

     romain Maxence. 

     Au X11e siècle,

    on exposait sa statue

    dans les églises de Paris 

    et le 25 novembre de chaque

    année, on déposait une coiffe

     sur sa tête. 

     C'était la plus âgée

    des jeunes filles qui le faisait. 

     Par la suite, les ouvrières 

    non mariées se coiffaient 

    de bonnets de papier. 

    Au début de la colonie au Québec, 

    Marguerite Bourgeois a commencé

     à fabriquer de la tire

     le 25 novembre pour attirer

    les Amérindiennes à l'école. 

     À l'époque de nos ancêtres, 

    la Sainte-Catherine était le jour

     où on fêtait les vieilles filles

     ce qui voulait dire les filles

     de plus de 25 ans 

    non mariées et on les appelait

     " Catherinettes".

     Dans les écoles, la Sainte-Catherine

     était une des plus grande fête

    de l'année. On fabriquait

    de la tire avec de la mélasse.

      Il fallait l'étirer, la couper

    en bouchée et l'envelopper

     dans des papillottes. 

     On fêtait avec des sketches,

     des jeux, des chants, 

    des danses durant tout

     l'après-midi et parfois

     toute la journée.

    Nous, nous ne savions pas

    comment était fabriquée la tire. 

     Le 24 novembre p.m. une gentille

    dame Laurette Morin de

    notre paroisse est venue

     fabriquer de la tire avec nous. 

     Elle nous a expliqué la marche

    à suivre pour faire

     de la bonne tire. 

     Avec ses judicieux conseils,

    nous avons étiré, coupé

    et surtout mangé la bonne

     tire à la mélasse.

      Nous vous donnons la recette. 

     N'oubliez pas de vous beurrer

     les mains avant de prendre

     les morceaux de tire

    pour l'étirer sinon vous serez pris

    dans la tire et c'est super collant. 

     Essayez-le, vous verrez

     c'est délicieux et naturel...

    Voici la recette: Tire à mélasse

    Ste-Catherine 1/2 tasse     mélasse
    1/2 tasse     sirop de blé d'Inde
    1 tasse        cassonade
    1 tasse        sucre
    1 c.table     vinaigre
    1/4 c. thé    crème de tartre
    1/8 c. thé    soda
    1/4 tasse     beurre

    Amener à ébullition

     sur feu doux jusqu'à 260

     degré Fahrenheit Recette

     de Laurette Morin de Saint-Honoré  

     

     

     


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  • AMOUR ET TRAHISON
    J'avais fait de ton amour ma seule raison

    Il s'est résumé en une immense déception

    J'ai été surprise par cette haute trahison

    Alors que tu montrais tant de dévotion
     


    Tu me répétais souvent que tu m'aimais
     
     

    Que c'était dur pour toi de ne pas me voir

    Tu disais que tu ne me quitterais jamais

    Et tu me laisses le coeur plein de désespoir
     


    Que sont devenus nos rêves et nos promesses

    Nos désirs de voyager, nos envies de liberté

    Dans tes bras je me sentais une vraie déesse

    Et dans tes yeux je lisais une grosse fierté
     


    L'amour est désormais mélancolie et souffrance

    Les jours défilent et il ne reste que les souvenirs

    A qui accorderais-je maintenant ma confiance

    Pas à toi qui a remis en cause mon avenir
      
     

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